Quand lire et écrire s'appellent mutuellement
Ecrire mon amour sur ton corps
Le blanc de la feuille appelle mes vers
Le carmin de tes lèvres, mes baisers brûlants
Un peu mélancolique entre deux verres
Les émois se bousculent, vifs et turbulents
Dans tes yeux d’un éclat plus que superbe
S’est révélé mon amour comme le seul véritable
Très profond et depuis lors, mon unique verbe
Intense comme le saphir, pur et inrayable
Le blanc de la feuille absorbe mes vers
La chaleur de tes lèvres, mon ardeur brûlante
Un peu nostalgique entre deux verres
Les images se bousculent, vives et stimulantes
Sur tes lèvres de l’éclat de la plus belle des roses
Est né le désir, prenant possession du corps
Dun attachement désormais inflexible qui s’impose
Et je me retiens pour ne pas plus t’aimer encore
Le blanc de la feuille me renvoie mes vers
La fougue de tes lèvres, mon souffle brûlant
Un peu illogique entre deux verres
Les rêves se bousculent, vifs et succulents
Faire croitre et durer l’étreinte des nos âmes
Témoin d’un amour sublime et supérieur
Le destin ne trouvant pas d’autres anagrammes
Au « Nous » qui nous lie, ici ou ailleurs
Si le blanc de ton corps avait fait office de ma feuille
Ecrire mon amour sur ton corps serait devenu mon recueil
Et j’aurais plongé ma plume dans ton encrier
Pour ne plus jamais la retirer
Stille, le 16/08/2012
Tous droits réservés ©.
Ecrire mon amour sur ton corps
Le blanc de la feuille appelle mes vers
Le carmin de tes lèvres, mes baisers brûlants
Un peu mélancolique entre deux verres
Les émois se bousculent, vifs et turbulents
Dans tes yeux d’un éclat plus que superbe
S’est révélé mon amour comme le seul véritable
Très profond et depuis lors, mon unique verbe
Intense comme le saphir, pur et inrayable
Le blanc de la feuille absorbe mes vers
La chaleur de tes lèvres, mon ardeur brûlante
Un peu nostalgique entre deux verres
Les images se bousculent, vives et stimulantes
Sur tes lèvres de l’éclat de la plus belle des roses
Est né le désir, prenant possession du corps
Dun attachement désormais inflexible qui s’impose
Et je me retiens pour ne pas plus t’aimer encore
Le blanc de la feuille me renvoie mes vers
La fougue de tes lèvres, mon souffle brûlant
Un peu illogique entre deux verres
Les rêves se bousculent, vifs et succulents
Faire croitre et durer l’étreinte des nos âmes
Témoin d’un amour sublime et supérieur
Le destin ne trouvant pas d’autres anagrammes
Au « Nous » qui nous lie, ici ou ailleurs
Si le blanc de ton corps avait fait office de ma feuille
Ecrire mon amour sur ton corps serait devenu mon recueil
Et j’aurais plongé ma plume dans ton encrier
Pour ne plus jamais la retirer
Stille, le 16/08/2012
Tous droits réservés ©.